en cours d’écriture…
NB: smartphone HS donc nouveau téléphone à l’ancienne, d’où ces photos de basse qualité.
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2 randos aujourd’hui.
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Aujourd’hui j’avais prévu de rejoindre les gorges du Verdon pour y refaire 1 à 2 randos déjà effectuées au mois d’octobre. A ce moment-là, la région du Verdon était encore sous le coup de la sécheresse. Ca ne devrait plus être le cas aujourd’hui et marcher sur les mêmes sentiers redécorés me tenait à coeur. Ce furent mes premières randos dans cette aventure et ca me paraissait une bonne idée de « boucler la boucle ». En voyant la météo peu clémente, je décide de repousser d’une journée. Pourquoi ne pas se rapprocher et rouler jusqu’à la vallée du Loup ? Je trouverais bien de quoi y remuer mes pattes.
Pour une rando « de secours », j’ai beaucoup de chance. Je marche dans la neige nouvellement tombée de cette nuit. La « fraiche » reste quand même plus facile à marcher qu’une neige de plusieurs jours, durcie par le froid et surface glacée par le vent. « Plus facile » ne veut pas dire « facile » : je dois sagement abandonner l’idée d’accéder à la cime du Chéron. Je dois malheureusement m’arrêter au col précédent le sentier en crêtes qui mène à cette cime. La neige est bien plus importante que prévue et un vent glacial souffle en rafale. Au col, je trouve un abri pour manger (promptement car il fait très fort même sans vent). Je ne suis pas si déçu de laisser dernière moi le point d’orgue de la rando. Depuis 1 heure, je commence vraiment à avoir froid et je crois avoir eu largement mon quota de marche dans la haute neige. Demi-tour dans la poudreuse…
Malgré tout, j’étais bien assez satisfait du spectacle naturel offert aujourd’hui. Ce fut une sage journée 😉
Circuit agréable pour une bonne marche sportive. Le point de vue quelque peu invariable me donne effectivement envie de pousser un peu sur les pattes.
Dans la ville de Puget-Rostang, je trouve la dernière cabine téléphonique du monde de France… et en état de marche s’il vous plait…. et avec un bottin !! Elle n’a par contre pas accepté ma carte bancaire…. où trouve-t-on encore des cartes téléphoniques ???
Tout près des gorges du Cians, je m’attendais à voir ici le même paysage. Ce n’est pas le cas. Les gorges de Daluis sont plus escarpées et plus étroites, rendant le site plus attrayant que dans la vallée d’en face. La route qui longe ces gorges est également plus attirante : tunnels, panorama, rocher touristique.
Belle promenade avec un parcours en balcon qui offre une traversée dans les fameuses roches rouges. Point d’arrivée au belvédère avec une magnifique vue panoramique et vertigineuse. Je ne regrette vraiment pas d’avoir choisi de parcours.
Grand circuit, longue marche sportive et dénivelé conséquent pour cette rando aux multiples visages : neige, immense prairies, caillasses, forêts…
Les lumières d’automne sont à l’ordre du jour et j’en profite pleinement (mon appareil photo aussi). Ces lumières basses donnent de parfaites ombres naturelles, dernières retouches aux tableaux peints par la nature. Immense et majestueuse journée dans ce parcours acrobatique.
Pas très en forme aujourd’hui, après une nuit à attendre que la migraine de la veille s’estompe. Je visite les gorges du Cians au travers de l’ancienne route touristique. Je fais tout de même une petite rando de 3 heures dans ces mêmes gorges. La marche m’aère la tête et je me sens mieux. Au soir, je suis prêt pour la vadrouille du lendemain.
Un commerçant de la vallée de la Roya, à qui j’achète du jambon, me prête gentiment son téléphone pour appeler Murielle qui m’avait pris en stop dans le Verdon (nous avions finalement randonner ensemble, accompagné de son ami Pierrot). Comme elle me l’avait proposé, elle m’accueille chez elle en toute simplicité et nous ferons 2 journées de rando. J’emboiterai son pas sans me préoccuper du parcours : plaisant. C’est aussi l’occasion pour moi de bénéficier des commodités de la civilisation moderne (douche, lit, repas chaud, douche et aussi la douche). Merci Murielle.
Les roches de l’Esterel n’étant pas assez rouges à mon goût, je décide de les repeindre avec quelques centilitres de mon hémoglobine. Pour ça rien de plus simple, prendre une photo et ranger l’appareil tout en repartant dans le sens de la marche avec vigueur, entrain, et totale non-maîtrise du demi-tour pied gauche. Plusieurs fois je me suis fait la réflexion : « bordel, regarde où tu marches quand tu ranges l’appareil, il va t’arriver des bricoles ! ». Et bien les bricoles sont arrivées : glissage franche sur cailloux pas attaché à la montagne + amortissage de la chute avec nez sur autre cailloux, celui-ci attaché à la montagne mais pas moelleux du tout. Résultat : dans les vapes un bon moment, roches de la montagne effectivement plus rouges qu’avant mon arrivée, et puis surtout l’air d’un con à se planter la tronche sur une promenade dans l’Esterel à la haute altitude de 320 mètres, après avoir éviter les plaques d’avalanches, les glissades vertigineuses, l’ours polaire des Pyrénées et les cris de randonneuses outrées par mon odeur caverneuse.
Cette rando doit encore se dérouler dans la neige. Quelques faits marquants de la veille me rappellent que des guêtres sont un luxe que je peux m’offrir. Je trouve un magasin de sport tenu par une unique et belle vendeuse, qui sera au petit soin avec moi. Elle me fera d’ailleurs changer d’avis quant à ma rando du jour, qui devait être celle du circuit de Fenestre. Elle me vend donc ses guêtres, la rando du circuit de Trécolpas, ainsi que le refuge homonyme où l’on trouve la meilleure tarte au myrtilles de la région. Elle m’assure que le refuge est ouvert en cette saison morte. Elle connait d’ailleurs le gardien.
Après 2 tentatives échouées ces derniers jours, je mérite mon lac et je ne rebrousserai pas chemin cette fois-ci. Le goût de la « tarte aux myrtilles la meilleure de la région » sera mon moteur et ma motivation. Je ferais donc le circuit à l’envers pour me goinfrer au refuge, après et seulement après avoir contempler mon lac.
Au final : lac tristement gelé et accompagné d’un vent glacial, refuge fermé et woualou la tarte aux myrtilles. Mais ce fut le plus beau lac du monde !
Belle randonnée malgré une gadoue sur le sentier, cachée par la petite neige. La montée finale se fera donc par voie directe. Panorama à 360 degré et vent glacial à l’arrivée. Au retour, je me fais une petite séance photo en jouant sur les ombres d’automne.
Dormi sur le gigantesque parking du pont d’Espagne avec comme pour seul véhicule : le mien, je me réveille dans un igloo. Il fait 3 degré dans la voiture qui a pris 30 cm de hauteur grâce à la neige tombée cette nuit. Chaîner va-t-il être nécessaire pour sortir du parking et descendre les 8 km jusqu’à la station des Cauterets ?
Direction le cirque de Gavarnie. Croyant avoir affaire à un site attrape-touriste et au vu du temps gris, je pars en mode « pas rando », sans sac ni appareil photo. Le chemin est effectivement très inintéressant, mais le cirque de Gavarnie en est par contre une belle chute. Un site très touriste effectué hors saison et seul : c’est agréable. Je vais auprès de 2 des chutes d’eau englobées par le cirque. La principale, qui mesure 422 mètres, est entièrement entourée de neige. Des blocs de glace tombent du haut de la falaise, faisant un bruit extrêmement lourd lors de l’impact. Impressionnant. Je sillonne le cirque un bon moment avant de repartir juste avant la tombée de la nuit. Je ne regrette pas d’avoir fait ce détour avant mon départ pour les Alpes.
Direction l’office du tourisme de la station de ski de La Mongie pour recueillir la météo locale du jour. Je voudrais monter au Pic du Midi et le ciel est tendancieux : pluie ou pas pluie ? L’officieuse du tourisme m’explique que ce ne sera pas pour aujourd’hui car il va pleuvoir toute la journée. En haut du Pic du Midi, il neige et le brouillard a pris place. Je décide de ne pas l’écouter quand je m’aperçois qu’elle est en train de me lire les prévisions de météo-france.fr !
Il pleut effectivement quand je prends le départ, mais je suis équipé et l’envie de gravir ce mont mythique des Pyrénées, en passant par le lac d’Oncet, mon premier lac, est bien plus forte que cette pluie. Celle-ci, peu déplaisante au final, cesse de toute façon au bout de 15 minutes de marche. Je ne la reverrai pas de la journée !! Quelques « vache qui rit dans la prairie » à passer, plusieurs lacets, quelques montées peu éprouvantes me mènent au lac d’Oncet, forme géométrique courbe parfaitement enclavée dans la montagne rocailleuse, d’une couleur foncée très prononcée, presque noire. Superbe. Le chemin quant à lui passe d’un sentier pédestre à une piste jeepable peu agréable à marcher. De nombreux lacets se succèdent et c’est interminable en raison d’une pente peu importante que doit respecter la piste. Enfin j’arrive à un col enneigé qui marque l’arrêt de cette inattendue piste et le départ de la dernière montée pour le Pic. Comme le col, cette montée est entièrement enneigée. Mes chaussures s’enfoncent facilement de 10 à 30 cm selon là où je pose le pied. Mais c’est un réel plaisir de voir la neige pour la première fois, surtout dans ce contexte. La neige est fraiche et ne gène pas tant que ça l’ascension de cette dernière grimpette.
L’arrivée au Pic du Midi est très décevante. J’arrive côté « travaux en cours » sur un sommet entaché d’un énorme bloc de béton et surplombé par un bar où quelques touristes, venus en téléphérique, s’abritent du vent et du brouillard. Pouah, j’ai envie de repartir de suite. Je fais le tour du propriétaire vite fait avant de partir. Je descends juste assez pour oublier mon bloc de béton d’arrivée et admirer le panorama à 360 dégrés moins 180 (cause y a du brouillard qui monte du côté opposé). Jusqu’au col, je descends mon sentier enneigé, excité comme un gamin qui découvre la neige. Le brouillard reste au sommet du Pic du Midi sans jamais descendre sur mon versant. Le soleil, lui, fait son apparition et quand je lève la tête, je semble être dans le seul versant de montagne des alentours qui bénéficie des rayons du soleil. Majestueux qu’est devenu mon parcours, je descends le reste du sentier avec un sourire banane jusqu’à la voiture, en n’oubliant pas de remercier la beauté du lac d’Oncet qui fait bronzette quand je repasse à son bord.
Officieuse du tourisme, nous ne vous écouterons plus.
Départ tardif et venteux depuis le barrage du lac de Bouillouse. Le temps n’est pas au rendez-vous, les touristes oui. Heureusement ils restent agglutinés à cet austère barrage de béton qui gouverne sur le lac en le contenant, comme s’il allait faire la bêtise de se déverser dans la vallée. Petit circuit pas inoubliable. A faire si vous passez dans le coin.
Sans trop savoir pourquoi et sûrement à tort, où peut-être à cause d’un temps maussade, je ne le sens pas trop de randonner dans cette vallée. A mon retour de randonnée, je préfère donc passer la porte de la prochaine des Pyrénées, le Luchon.
C’est en discutant avec un aubergiste du coin que j’apprends l’existence de ce sentier dont le départ n’est autre que le parking excentré où je dors depuis 2 jours : ouvre les yeux bordel !! Il me vend bien la chose et le sentier, officiellement fermé, ne l’est que pour des raisons territoriales (petites guéguerres entre propriétaires). Ce sera mon itinéraire pour cette journée toujours aussi ensoleillée.
Cet aubergiste a bien fait de me vendre son parcours qui suit une ligne plutôt inattendue à travers les différents vallons de la région. Il finit par rejoindre le cours du Verdon où son lit, bien plus large qu’en amont, tente tant bien que mal de lutter contre la sécheresse. Je n’ai donc pas le droit aux fontaines naturelles promises par mon fournisseur de bière. Mais pour autant, il aurait été dommage de passer à côté (en fait de dormir à côté…) de ce sentier sans en sillonner le chemin, tant il a à offrir.
Cet itinéraire emprunte principalement le GR4 qui, sur cette partie, rejoint Castellane à Moustiers-Sainte-Marie. C’est aussi un long parcourt, principalement en forêt, et qui se distingue donc des marches faites la veille et avant-veille le long du Verdon. La journée se passe toujours sous un plein soleil d’automne. Je mangerai au milieu d’une belle clairière sous ce même soleil et en tee-shirt, à prendre mes premières couleurs de bronzage. Je ne croiserai cette fois-ci qu’une randonneuse, unique rencontre annonciatrice de ce qui m’attendra régulièrement dans mes prochaines marches de ce périple.
Toutes photos par Vinz - Site Wordpressé avec une tablette.....bouh la honte